Néonazis en Ukraine, « trotskistes » en France. Quand l'histoire bégaie dangereusement...
Copie d'écran. Titre "Le GT enquête : Des preuves suggèrent que les États-Unis auraient soutenu le bataillon néo-nazi Azov". source: https://www.globaltimes.cn/page/202203/1254217.shtml
Actualisé à 22:45 le 18/03/2022.
Toutes les phrases mises en gras et/ou en italiques le sont par moi...
Par Michel Aymerich
Voici deux billets et un article complémentaires qui traitent de la réalité largement cachée sous nos latitudes « démocratiques » (démocratie pour le peuple ? Poser la question, c'est y répondre) par « nos » médias de l'existence de néonazis aussi réels qu'actifs en Ukraine et de ce que cela implique...
Les deux billets publiés sur la page Facebook de l'auteur sont de Aymeric Monville, éditeur et auteur (et parfois traducteur) des éditions Delga [1]. L'article est du Global Times (GT), un journal chinois.
Avant de vous les laisser lire, une remarque concernant le premier billet qui traite des «trotskistes» du N.P.A.
Je ne suis pas le moins du monde surpris des positions de ce courant particulier du dit trotskisme international. Ses représentants au plus haut niveau portent leur part -certes marginale à l'époque - de responsabilité historique dans la destruction de l'URSS en 1991 [2].
Ainsi en août 1991 Catherine Verla (C. Samary) haute responsable de la LCR demande-t-elle aux militants de la dite section est-allemande du «Secrétariat unifié de la IV Internationale», le Groupe Revolutionäre Sozialisten (GRS), d'aller devant l'ambassade soviétique à Berlin, avenue Unter den Linden, distribuer des tracts soutenant Boris Eltsine face aux membres du Comité d'État pour l'état d'urgence (Государственный комитет по чрезвычайному положению, ГКЧП)[3] qui tentent de sauver l'URSS de sa destruction programmée par Eltsine & Co !
En termes clairs, Eltsine représentait la fraction du pouvoir qui organisait la contre-révolution politique et sociale alors que les membres organisés dans le Comité d'État pour l'état d'urgence représentaient de facto la fraction qui résistait à la restauration capitaliste.
? 17 mars 1991 - Les soviétiques votent en faveur du maintient de l'URSS
— Perspective communiste ☭?ᄌマ (@PerspCommuniste) March 17, 2022
Considérez-vous nécessaire le maintien de l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques ? Le OUI remporte 77,85% des voix.
Les résultats du référendum seront enterrés.
?https://t.co/l2jdwrhd8d pic.twitter.com/IsU48ICPiR
Ainsi donc les «trotskistes» du prétendu «Secrétariat unifié de la IV Internationale» se sont-ils comportés à l'opposé de ce que Trotsky préconisait en 1938 dans son «Programme de transition» lorsqu'il écrivait que « la "fraction Reiss" prendra inévitablement sa place de l'autre côté de la barricade. Se trouvant momentanément l'alliée de Staline, elle défendra, bien entendu, non pas la clique bonapartiste de celui-ci, mais les bases sociales de l'URSS, c'est-à-dire la propriété arrachée aux capitalistes et étatisée. [...].» Trotsky soulignait de la sorte «la possibilité, dans des cas strictement déterminés, d'un "front unique" avec la partie thermidorienne de la bureaucratie contre l'offensive ouverte de la contre-révolution capitaliste [4]»
Alors quoi que que l'on pense des concepts et éléments de langage essentiellement erronés de Trotsky, lesquels simultanément fondaient et reflétaient son passage à la trahison effective, bien que tactique [5], pratiquée après 1933, évoquée par Aymeric Monville dans son premier billet, force est de constater que ses épigones autoproclamés n'avaient pas lutté en 1991 pour défendre «la propriété arrachée aux capitalistes et étatisée [...] contre l'offensive ouverte de la contre-révolution capitaliste ». Bien au contraire, ses épigones autoproclamés s'étaient rangés du côté de la contre-révolution ouverte!
L'URSS n'est plus, mais relativement à la Russie et à un Poutine bonapartiste [6] faisant face à une Ukraine gangrenée par des néonazis et appuyée par les régimes du capitalisme-impérialiste international sous hégémonie étasunienne, les actuelles positions des épigones autoproclamés de Trotsky à la Gilbert Achcar s'inscrivent, hier comme aujourd'hui, dans cette même démarche consistant à se ranger dans le camp de la « démocratie » capitaliste-impérialiste.
Lénine faisait observer : « L'idéologie impérialiste pénètre également dans la classe ouvrière, qui n'est pas séparée des autres classes par une muraille de Chine. » et il rappelait l'existence des « "social-impérialistes", c'est-à-dire de socialistes en paroles et d'impérialistes en fait [7]»
Notes :
[2] https://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2021/12/analyse-des-trois-principales-causes-de-la-subversion-et-de-la-desintegration-de-l-union-sovietique-par-un-communiste-chinois.html et https://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2022/03/gorbatchev-cet-homme-peut-sembler-intelligent-mais-en-fait-il-est-stupide-deng-xiaoping.html
[3] Le Comité d'État pour l'état d'urgence (ru : ГКЧП) comprenait 8 membres dont Guennadi Ianaïev, vice-président de l'Union soviétique qui fut nommé président par intérim ; le Premier ministre Valentin Pavlov ; le président du KGB Vladimir Krioutchkov ; le ministre de la Défense Dmitri Iazov ; le ministre des Affaires intérieures (MVD) Boris Pougo ; le membre du comité central du PCUS Oleg Baklanov ; le président de l'union des paysans Vasily Starodubtsev.
[4] https://www.marxists.org/francais/trotsky/livres/trans/tran17.html
[5] Le concept de tactique est à distinguer du concept de stratégique... Lire absolument l'ouvrage suivant: https://editionsdelga.fr/produit/le-vol-de-piatakov/
[7] https://www.marxists.org/francais/lenin/works/1916/vlimperi/vlimp9.htm
Atlantisme bêlant
— En dehors de la boîte (@EnDehorsDLBoite) March 18, 2022
(par Viktor Dedaj) pic.twitter.com/luahsFrzVY
TROTSKOLLABOS : LE N.P.A. FAVORABLE À LA LIVRAISON D'ARMES À L’ÉTAT UKRAINIEN
Il faut bien rester calé sur sa chaise, respirer un bon coup, puis lire le mémorandum du N.P.A. (Nouveau Parti Anticapitaliste, de Besancenot et Poutou), « sur une position anti-impérialiste radicale concernant la guerre en Ukraine ». C'est publié sous la plume, radicale elle aussi, de Gilbert Achcar, et diffusé massivement dans les rangs de la IVe Internationale :
« Nous sommes pour la livraison sans conditions d’armes défensives aux victimes d’une agression – dans ce cas, à l’État ukrainien qui lutte contre l’invasion russe de son territoire. »
Euh, mais pourquoi, au fait, vu que l'OTAN, l'UE, et diverses autres mafias, font déjà ça très bien ?
Réponse d'Achcar :
« Aucun anti-impérialiste responsable n’a demandé à l’URSS ou à la Chine d’entrer en guerre au Vietnam contre l’invasion américaine, mais tous les anti-impérialistes radicaux étaient favorables à une augmentation des livraisons d’armes par Moscou et Pékin à la résistance vietnamienne. »
La résistance vietnamienne? Donc, si j'ai bien compris, pour le N.P.A., Zelensky c'est Ho Chi Minh, le bataillon Azov c'est le Viêt-Cong et Besancenot, Che Guevarra. Mais le texte ne nous dit pas pourquoi le Donbass huit ans plus tôt, c'était pas le Vietnam. Ils avaient raté ce coup-là. En revanche, ils avaient salué Maïdan, en 2014. A croire que Victoria Nuland et John McCain en imprésarios de Pravy Sektor, Svoboda et les autres, ils n'avaient pas vu.
Mais ce coup-ci, s'ils décident de faire une sortie au-delà du périphérique parisien pour participer eux-mêmes à la logistique, on pourrait imaginer une touchante photo de famille entre le porte-voix, logo du N.P.A., et le Wolfsangel, le crochet du loup, symbole S.S. du bataillon Azov.
A croire qu'ils font tout ça uniquement pour figurer dans la deuxième édition, augmentée, voire en couverture du « Vol de Piatakov ».
Au fait, vous voulez toujours voter pour le si sympathique Philippe P. ?
Aymeric Monville, 16 mars 2022
STEPAN BANDERA BIENTÔT "PÈRE DE L'EUROPE" ?
Dans le contexte actuel, le dirigeant nationaliste ukrainien, consacré héros national en 2010 par le président Iouchtchenko, pourrait bientôt être élevé à la dignité de "père de l'Europe". Il coche en effet toutes les cases :
° Il était collabo comme Robert Schuman, lequel fut frappé en 1945 d'indignité nationale.
° Il était, comme Walter Hallstein (premier président de la commission européenne), membre de plusieurs organisations affiliées au NSDAP.
° Il était, après-guerre, devenu un agent des Etats-Unis, comme Jean Monet.
Certes, l'Union européenne n'a pas encore complètement recréé l'écosystème qui était le sien, la russophobie n'ayant pas encore atteint le niveau de l'opération Barbarossa.
Mais déjà le chef d'orchestre russe récemment poussé à la démission à Toulouse, Tugan Sokhiev, nous confiait que la France est en train de devenir comme la Pologne, un beau pays où la musique russe est désormais interdite (référence article ci-dessous).
Et puis, aux toutes dernières nouvelles, selon la très officielle agence Reuters (lien également ci-dessous), l'agence Meta, qui regroupe Facebook et Instagram, va autoriser ses utilisateurs dans certains pays à « appeler à la violence contre les Russes et les soldats russes dans le contexte de l'invasion de l'Ukraine, selon des courriels internes vus par Reuters jeudi, dans le cadre d'un changement temporaire de sa politique en matière de discours de haine ».
S'il faut donc changer notre politique en matière de « haine », alors, Ursula, Manu, faites enfin un geste pour Stepan Bandera!
Et comme ça on affichera carrément la vraie couleur du drapeau européen.
Quelque part entre le vert de gris et le caca d'oie.
Aymeric Monville, 11 mars 2022
PS : Un ami chinois me confiait récemment : « Il y a déjà deux guerres mondiales qui sont parties d'Europe et là, avec l'OTAN partout, vous remettez le couvert. Vous ne croyez pas qu'il y a un problème ? ». Je ne vois pas ce qu'il veut dire.
Références articles :
France 3, Occitanie, 06 mars 2022, « Guerre en Ukraine. Le chef russe, Tugan Sokhiev, démissionne de l'Orchestre national du Capitole de Toulouse et du Bolchoï », (par Sylvain Duchampt)
Reuters, 11 mars 2022, « Exclusive : Facebook allows Ukraine war posts urging violence against invading Russians, Putin » (par Munsif Vengattil and Elizabeth Culliford)
Le GT enquête : Des preuves suggèrent que les États-Unis auraient soutenu le bataillon néo-nazi Azov
Le détachement d'opérations spéciales Azov, également connu sous le nom de bataillon Azov, un infâme régiment militaire néonazi basé en Ukraine et fondé par des suprématistes blancs, a attiré l'attention du monde entier après que ses membres ont été vus impliqués dans la crise actuelle entre l'Ukraine et la Russie. Auparavant, le président russe Vladimir Poutine avait déclaré que l'opération militaire russe en Ukraine visait à "démilitariser" et "dé-nazifier" l'Ukraine.
La semaine dernière, le bataillon Azov a suscité l'indignation pour une vidéo insultante et raciste partagée par la Garde nationale d'Ukraine (NGU) sur Twitter, qui semblait montrer des membres d'Azov graissant les balles avec de la graisse de porc. "Les combattants Azov de la Garde nationale ont graissé les balles avec du saindoux contre les orcs* de Kadyrov", a déclaré le compte NGU. NGU a ensuite supprimé la vidéo offensante de son compte suite aux critiques de nombreux utilisateurs de Twitter.
[* « Les orcs, ou orques, humanoïdes à l'aspect repoussant et aux mœurs barbares, forment un peuple imaginaire typique du genre de la fantasy.» (Wikipédia) ]
Le bataillon Azov serait une unité de la NGU, soutenue par le ministère ukrainien des affaires intérieures. Malgré ses possibles antécédents officiels en Ukraine, le Bataillon Azov est connu en Occident pour ses positions néonazies extrêmes, et pour son implication présumée dans un certain nombre d'attaques terroristes et d'incidents d'incitation au séparatisme dans divers pays et régions, y compris les émeutes dans la région administrative spéciale de Hong Kong en Chine en 2019.
Ironiquement, bien qu'il soit largement considéré comme une menace pour la sécurité mondiale et un ennemi de la civilisation humaine, le Bataillon Azov s'est avéré avoir des liens non seulement avec les autorités ukrainiennes, mais aussi avec les États-Unis. Après avoir examiné les informations publiques du gouvernement américain et certains rapports d'enquête de journalistes occidentaux, le Global Times a découvert qu'il était fort probable que des politiciens, des militaires et des agents de renseignement américains aient coopéré avec le bataillon Azov, afin d'encourager les forces extrémistes d'Europe de l'Est contre la Russie.
Que cachent les États-Unis ?
Depuis la création d'Azov Battalion en 2014, de nombreux médias américains ont révélé ses liens potentiels avec les autorités américaines.
Selon un article de Yahoo News datant de janvier 2022, la Central Intelligence Agency (CIA) entraîne secrètement des forces pour l'Ukraine depuis 2015. La CIA a supervisé un programme secret d'entraînement intensif aux États-Unis "pour les forces d'opérations spéciales ukrainiennes d'élite et d'autres personnels du renseignement", selon l'article qui cite "cinq anciens responsables du renseignement et de la sécurité nationale familiers de l'initiative".
Le programme de plusieurs semaines comprend une formation aux armes à feu, aux techniques de camouflage, à la navigation terrestre, à des tactiques comme "se couvrir et se déplacer", au renseignement et à d'autres domaines, ont déclaré les anciens responsables. En plus de ce qui précède, la CIA a également commencé à "se rendre sur le front dans l'est de l'Ukraine pour conseiller leurs homologues sur place en 2015", rapporte Yahoo.
Toujours en 2015, le Congrès américain a supprimé de son projet de loi de dépenses de fin d'année l'interdiction de financer des groupes néonazis comme le bataillon Azov, indique un article du magazine The Nation en janvier 2016. En juillet 2015, deux membres du Congrès ont rédigé un amendement au projet de loi sur les crédits de défense de la Chambre des représentants qui limitait "les armes, la formation et toute autre assistance à la milice ukrainienne néonazie, le Bataillon Azov", mais l'amendement a été retiré en novembre suite à "la pression du Pentagone", a déclaré un initié à The Nation.
"Considérant le fait que l'armée américaine a formé les forces armées ukrainiennes et les troupes de la garde nationale, [...] le Congrès et l'administration ont ouvert la voie pour que les fonds américains finissent dans les mains des éléments les plus nocifs qui circulent en Ukraine aujourd'hui", a commenté l'auteur de l'article, James Carden, suggérant que l'armée américaine s'était également engagée dans la formation des NGU, qui pourraient inclure des membres du bataillon Azov.
Sans surprise, les observateurs auraient vu les armes américaines en Ukraine "aller directement aux extrémistes d'Azov." En décembre 2017, Richard Vandiver, du fabricant d'armes américain AirTronic, a déclaré à VOA que ses ventes d'armes létales à l'Ukraine étaient réalisées en "coordination très étroite" avec l'ambassade des États-Unis, le département d'État américain, le Pentagone et le gouvernement ukrainien. Quelques semaines plus tard, le laboratoire de recherche médico-légale numérique du Conseil de l'Atlantique a confirmé dans un rapport de janvier 2018 qu'Azov Battalion était un bénéficiaire du transfert.
Il doit y avoir des liens entre Azov Battalion et les États-Unis, en particulier les agences de renseignement américaines, a déclaré Li Wei, expert en sécurité nationale à l'Institut chinois des relations internationales contemporaines.
"Soutenir les néonazis ukrainiens sert les propres intérêts des États-Unis", a déclaré Li au Global Times. "En incitant les conflits entre l'Ukraine et la Russie, les États-Unis ont affaibli la Russie et poussé davantage l'Ukraine vers l'OTAN ; ils ont également amélioré leurs relations avec l'Europe, qui est devenue plus dépendante stratégiquement des États-Unis. Les États-Unis sont vraiment le principal bénéficiaire des tensions entre la Russie et l'Ukraine."
Fin 2021, les États-Unis ont été l'un des deux seuls pays à opposer leur veto à un projet de résolution des Nations unies (ONU) "luttant contre la glorification du nazisme, du néonazisme et d'autres pratiques qui contribuent à alimenter les formes contemporaines de racisme." L'autre pays était l'Ukraine. "Les deux pays ont systématiquement voté contre cette résolution chaque année depuis 2014", écrivait un article du magazine américain Jacobin en janvier 2022.
Avec leur état d'esprit de la guerre froide, les États-Unis ont attisé les flammes anti-russes en Europe de l'Est, étant très complices des forces néo-nazies là-bas, ont critiqué des spécialistes des relations internationales.
"Nous avons vu les États-Unis soutenir ou aider des groupes terroristes comme Al-Qaida et l'État islamique (ISIS)", a déclaré M. Li. "Les États-Unis s'amusent avec le monde pour leurs propres intérêts géopolitiques".
Des méfaits dans le monde entier
En décembre 2019, certains néonazis ukrainiens, dont des membres du bataillon Azov, ont été vus lors d'émeutes séparatistes dans les rues de Hong Kong, provoquant la panique parmi les citoyens locaux, ont rapporté les médias de Hong Kong.
Ce n'était pas la première fois que des membres du bataillon Azov étaient impliqués dans des incidents terroristes ou violents. En mars 2019, 51 personnes ont été tuées dans deux mosquées de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, lors d'une fusillade de masse perpétrée par l'Australien Brenton Tarrant. Tarrant, qui arborait un symbole utilisé par le Bataillon Azov lors des attaques, a affirmé dans son manifeste avoir voyagé en Ukraine, selon un article publié sur le site Internet de l'Atlantic Council en février 2020.
En septembre 2019, les médias américains ont fait état d'une tentative d'attaque terroriste par un soldat américain qui a tenté de faire exploser une grande chaîne d'information américaine. Le soldat Jarrett William Smith, arrêté par le FBI, a déclaré qu'il "prévoyait de se rendre en Ukraine pour combattre avec le groupe violent d'extrême droite Azov Battalion", a rapporté ABC News ce mois-là.
En Ukraine, le Bataillon Azov est également tristement célèbre pour le mal qu'il fait dans la région orientale. Il a été accusé de déplacer des résidents après avoir pillé des propriétés civiles entre novembre 2015 et février 2016, selon un rapport de 2016 du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme.
Le rapport accuse également le bataillon Azov d'avoir violé et torturé des détenus dans la région du Donbass pendant cette période. Il a violé le droit international ainsi que les accords de Minsk, indique le rapport.
Traduit avec DeepL (version gratuite)
Documentaire à voir absolument sur l'Ukraine. Il a été effacé de Youtube, qui, en se comportant ainsi, fait exactement ce que font les nazis en Ukraine, qui l'ont inscrit sur la liste des têtes à faire tomber https://t.co/9CnPECpce1
— andres bryant (@pabbpabb) March 16, 2022
[On aura tout vu] Oleg Tyagnibok, néonazi et décoré par Lech Walesa pour son combat pour la Liberté
Oleg Tyagnibok, leader et cofondateur du parti Svoboda, alias Parti Social National d'Ukraine : Honoré en 2012 par le centre Simon Wiesenthal en tant qu'un des 10 pires antisémites mondiaux, en p...