Gorbatchev ? «Cet homme peut sembler intelligent, mais en fait il est stupide» (Deng Xiaoping)

N'importe quel problème politique peut être un problème d'organisation, et réciproquement. [...] Séparer les questions d'organisation de celles de la politique est impossible. La politique, c'est un concentré de l'économie.

Lénine,XIe CONGRÈS DU P.C. (b)R. (27 MARS - 2 AVRIL1922)

Article introductif très légèrement actualisé le 04/03/2022 à 12: 20.

Toutes les phrases mises en italiques et/ou en gras le sont par moi.

Par Michel Aymerich

Voici deux articles « Mes souvenirs en tant qu'interprète de Deng Xiaoping » et « Xi dit aux jeunes fonctionnaires d'avoir une foi solide et de travailler dur » qui démontrent l'importance d'une approche marxiste solide dans la résolution des questions politiques («la politique, c'est un concentré de l'économie» rappelait Lénine), économiques et sociales et la justesse historique de la voie choisie [1] par les communistes chinois à l'opposé de celle choisie par une fraction [2] des dirigeants du Parti communiste de l'URSS (PCUS) qui a conduit à la destruction de l'URSS, dont l'une des dernières conséquences s'observe actuellement...

Les souvenirs de l'interprète de Deng Xiaoping sont intéressants en ce sens qu'ils témoignent de deux choses qu'il convient de rappeler en ces jours de conflit entre la Russie et des cercles de l'OTAN par dirigeants de l'Ukraine interposés. Russie et Ukraine qui ont une longue histoire commune et sont toutes deux issues de l' URSS qui fut dissoute arbitrairement contre la volonté majoritaire [3] des peuples des républiques qui la composaient.

La première chose est la confirmation – si besoin est - que Deng Xiaoping était un communiste animé par des convictions solides associées à une riche expérience révolutionnaire et un stratège marxiste doué, doté d'une vision historique ; une vision à long terme couvrant plusieurs générations.

La seconde qui s'explique par la première est le jugement porté par Deng sur le médiocre bureaucrate Gorbatchev qui porte historiquement une lourde responsabilité pour ses choix ou ceux qu'il a tolérés (à l'encontre des propositions et mises en gardes de Y. Ligatchev [4]), lesquels ont favorisé le cours destructeur qui a conduit à la paralysie puis à l'interdiction du PCUS et consécutivement à la dissolution de l'URSS par Eltsine, Kravchuk et Shushkevich, trois traîtres soutenus par « l'Occident » (en clair, les régimes du capitalisme-impérialiste sous domination US)!

L'une des dernières conséquences de la destruction arbitraire de l'URSS s'observe ces derniers jours par la situation de la Fédération de Russie qui doit faire face au défi grandissant de l'extension de l'OTAN qui menace les intérêts vitaux des peuples qui la composent, dont les russophones du Dombass bombardé depuis 2014 par l'Ukraine!

Défi d'une extension de l'OTAN qui a provoqué la décision de Poutine de neutraliser les installations militaires d'une Ukraine instrumentalisée par le bloc capitaliste-impérialiste SOUS DOMINATION US et rongée par la présence de néonazis armés et organisés notamment dans le régiment Azov... [5]

Notes :

[1] https://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2021/06/maintenir-et-developper-le-socialisme-avec-des-caracteristiques-chinoises-xi-jinping.html

[2] «La cause politique fondamentale fatale a été la trahison du marxisme et du socialisme scientifique par le groupe dirigeant du Parti communiste de l'Union soviétique dirigé par Mikhail Gorbachev. [...] Les faits montrent qu'après l'arrivée au pouvoir de Gorbatchev, un bloc de droite, comprenant Yakovlev, Shevardnadze et Medvedev, s'est progressivement formé, dominant le Politburo avec Gorbatchev en son centre. Gorbatchev a commencé par se camoufler, puis ensuite le moment venu il a approuvé le multipartisme, et lors de la session plénière de février 1990 du Comité central du Parti communiste de l'Union soviétique, il a officiellement proposé une résolution visant à modifier l'article 6 de la Constitution* afin de supprimer la direction constitutionnelle du Parti communiste de l'Union soviétique sur le pouvoir de l'État.», Analyse des trois principales causes de la subversion et de la désintégration de l'Union soviétique par un communiste chinois, https://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2021/12/analyse-des-trois-principales-causes-de-la-subversion-et-de-la-desintegration-de-l-union-sovietique-par-un-communiste-chinois.html

[3] https://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2021/12/le-08-decembre-1991-eltsine-co-decidaient-arbitrairement-la-dissolution-contre-le-vote-majoritaire-en-faveur-de-l-urss.html

[4] Egor Ligatchev s'était opposé à la ligne de Alexandre Iakovlev soutenue par Gorbatchev.

«Membre du Comité central du PCUS de 1976 à 1990, il devient en 1983 chef de département du Comité central du PCUS, secrétaire du Comité central du PCUS (1983-1990), membre du Politburo (1985-1990). En 1993, il est vice-président - secrétaire de l'Union des partis communistes - PCUS. De 1985 à 1991, il est considéré comme le no 2 du PCUS. » (Wikipédia)

Son livre traduit du russe en allemand « Wer verriet die Sowjetunion? » [Qui a trahi l'Union soviétique?] Verlag Das Neue Berlin, Berlin 2012 mériterait une traduction française...

[5] https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9giment_Azov

Mes souvenirs en tant qu'interprète de Deng Xiaoping

Le 22 août [né le 22/08/1904. M.A.] a marqué l'anniversaire de la naissance de Deng Xiaoping, il y a 110 ans [Maintenant 121 ans. M.A.]. Bien qu'il nous ait quittés il y a 17 ans [28 ans], son regard, vif et profond, reste gravé dans ma mémoire. Bien que son comportement soit celui d'un vieil homme calme et doux, son regard déterminé trahissait une volonté dure comme le fer, une volonté qui a façonné une nation entière.

En tant qu'interprète de Deng et d'autres hauts dirigeants chinois dans les années 1980, j'ai eu la chance de côtoyer de près ce grand homme d'État.

J'ai également observé Deng lors de ses rencontres avec des dirigeants étrangers, notamment Kim Il-Sung de Corée du Nord, Robert Mugabe du Zimbabwe, Mikhail Gorbatchev d'Union soviétique et Jerry Rawlings du Ghana.

Kim s'est rendu en Chine en 1982, alors que l'économie nord-coréenne traversait une période particulièrement difficile. Il a dit à Deng qu'un moyen qu'il envisageait pour surmonter ses difficultés était d'élever plus de cailles communes que de poulets, car il avait appris du président pakistanais que les œufs de cailles étaient deux fois plus nutritifs que ceux des poulets.

Deng, disons-le, n'a pas voulu s'engager et a orienté la conversation ailleurs. Il a plutôt parlé à Kim de ses observations concernant le nord-est appauvri de la Chine, au retour d'un voyage en Corée du Nord en 1978. Après des décennies de révolution, dit-il, la plupart des zones rurales étaient encore très pauvres.

Estimant que le socialisme aurait dû apporter la richesse et non la pauvreté, Deng ne souhaitait pas tant parler d'œufs de caille que d'engager la nation sur la voie du développement économique et de la modernisation. Les mesures qu'il voulait adopter, a-t-il dit à Kim, comprenaient l'ouverture de la Chine aux technologies, à la gestion et aux capitaux étrangers.

Alors que de nombreuses nations socialistes de l'époque pensaient encore à des ajustements techniques mineurs, Deng envisageait déjà des réformes fondamentales.

Robert Mugabe s'est rendu en Chine pour la deuxième fois en 1985. Il admirait Mao Zedong et la moitié des membres de son cabinet ont été formés dans une académie militaire à Nanjing. Lors de sa première visite en 1981, M. Mugabe avait le sentiment que la Chine se dirigeait vers le capitalisme et était mécontent que les Chinois aient abandonné les idées de Mao.

Deng a répondu à M. Mugabe que la Chine ne faisait que défendre le principe de la "recherche de la vérité à partir des faits" - un élément clé du maoïsme. Et le présupposé des quatre modernisations (agriculture, industrie, défense nationale ainsi que science et technologie) était le socialisme. Deng était fermement attaché à deux principes fondamentaux: La direction du parti communiste et la propriété commune. Tant que ces éléments étaient intacts, il estimait que toute erreur pouvait être corrigée.

Comme M. Mugabe était un gauchiste, Deng a passé un temps considérable à raconter les leçons que la Chine avait tirées de sa "gauche" - le Grand Bond en avant et la Révolution culturelle. "Nous avons été punis (pour ces erreurs)", a déclaré sans ambages Deng à son invité surpris. Dans le même temps, il a rassuré M. Mugabe sur le fait que la Chine s'en tiendrait aux "quatre principes cardinaux", à savoir le maintien de la voie socialiste, la dictature du prolétariat, la direction du parti communiste ainsi que la pensée de Mao Zedong et le marxisme-léninisme.

Lors de la visite suivante de M. Mugabe, en 1987, Deng a encore parlé de ces principes. Il n'y a qu'un seul objectif pour les défendre, a-t-il dit, et c'est d'assurer la stabilité en Chine. Sans stabilité, pensait Deng, la modernisation de la Chine serait détruite par la libéralisation pro-occidentale.

Ces principes, toutefois, ne sont pas des dogmes, a souligné Deng, mais doivent être guidés par "la recherche de la vérité à partir des faits". En bref, ce sont les réalités du terrain, et non l'idéologie, qui doivent guider de manière pragmatique la voie de la réforme en Chine.

Même après de nombreuses explications de Deng, M. Mugabe n'était pas totalement convaincu. "Nous, amis du tiers monde, espérons toujours que la Chine maintiendra la voie socialiste", a déclaré M. Mugabe.

J'ai senti l'agacement de Deng lorsqu'il a répondu : "Nous avons toujours une puissante machine étatique." Deng a ajouté que cette puissante machine pouvait éviter toute déviation sérieuse de la direction socialiste.

En fait, Deng s'attendait au pire dans l'époustouflant voyage de la Chine vers la modernisation, y compris le type de troubles politiques qui se sont matérialisés en 1989. Il m'est apparu clairement, lors de sa conversation avec M. Mugabe, qu'il ne permettrait jamais un défi ouvert et le renversement du système socialiste.

GORBATCHEV A L'AIR INTELLIGENT, MAIS IL EST STUPIDE

Ceci nous amène à M. Mikhaïl Gorbatchev qui a visité la Chine en mai 1989. À cette époque, il y avait deux forces politiques en Chine.

D'une part, nous avions des étudiants activistes dont le héros était M. Gorbatchev, connu pour avoir donné la priorité aux réformes politiques. Les étudiants ont accueilli leur héros avec le slogan "L'Union soviétique d'aujourd'hui, la Chine de demain", qui a beaucoup plu à l'intelligentsia chinoise.

De l'autre côté, nous avions Deng qui pensait que la tâche la plus urgente était d'améliorer les moyens de subsistance de la population. Selon lui, toutes les autres réformes, y compris les réformes politiques, devaient servir cet objectif principal. Il pensait également que copier le modèle occidental et placer la réforme politique en tête des priorités, comme le faisaient les Soviétiques à l'époque, était totalement insensé.

En fait, c'est exactement ce que Deng a dit de M. Gorbatchev après leur rencontre : "Cet homme peut sembler intelligent, mais en fait il est stupide".

Un mois après avoir reçu M. Mugabe en 1985, Deng a rencontré Jerry Rawlings, alors dirigeant du Ghana. Les premières étapes de la réforme se déroulant bien, Deng était de très bonne humeur et détendu.

"Il semble que nous ayons trouvé notre propre voie", a déclaré fièrement Deng. Il a encouragé M. Rawlings à visiter Xiamen, l'une des zones économiques spéciales en cours de création. Le président chinois Xi Jinping était alors vice-maire de Xiamen.

"Ne vous contentez pas de copier le modèle chinois. Vous devez suivre votre propre voie", a averti M. Deng. Il a résumé l'expérience de la Chine pour son invité : "S'il y a une expérience chinoise pertinente pour vous, je crains qu'il ne s'agisse que d'une seule chose : rechercher la vérité dans les faits."

En d'autres termes, il a dit à M. Rawlings : "Vous devez formuler vos propres politiques et plans en fonction de la situation réelle de votre pays. Au cours de ce processus, vous devez tirer les leçons de manière très opportune - pour conserver les bonnes choses et corriger les mauvaises. C'est peut-être l'expérience la plus pertinente pour vous".

À ce jour, c'est l'essence même du modèle chinois.

M. Rawlings a répondu que les Chinois semblaient très rationnels, alors que ses compatriotes ne l'étaient pas. L'Occident se contentait de leur présenter un modèle et de leur dire de le copier*.

[* Parce-que l'Occident qui ne peut être décrit par un concept géographique (qui plus est européo-centrique) est en substance le capitalisme-impérialiste avec à sa tête les USA et que partant, conformément à sa nature, il est mû par des intérêts purement égoïstes. Les « Occidentaux » relègueront, donc, tout naturellement les intérêts des peuples d'Afique et du monde à un rang secondaire... M.A.]

Or, voici que le dirigeant de la plus grande nation du monde lui dit de ne pas copier sa façon de faire. "Seul le leader d'une grande civilisation pouvait dire une telle chose", a remarqué M. Rawlings.

LES QUATRE CARACTÉRISTIQUES DE DENG CARACTÉRISTIQUES

Pour résumer, les moments que j'ai passés avec Deng m'ont laissé une impression de ce que j'appelle ses quatre caractéristiques. Premièrement, sa vision. Même à 80 ans, Deng était un stratège avec une vision à très long terme. Il parlait toujours de problèmes qu'il ne pouvait voir que quelques décennies plus tard.

Pour lui, sa tâche consistait à établir certains principes fondamentaux qui ouvriraient la voie à la nation pour une centaine d'années.

Deuxièmement, sa façon de penser. Deng réfléchissait tout le temps. Chaque fois qu'il recevait des informations du ministère des affaires étrangères, il s'asseyait en silence sur le canapé, seul avec sa cigarette, le regard perdu dans la pièce. Cette image ne m'a jamais quitté.

Troisièmement, son pragmatisme clairvoyant. Deng a toujours souligné l'importance d'essayer d'abord toute nouveauté pour voir si elle fonctionne avant de la mettre en œuvre à plus grande échelle.

Quatrièmement, sa grandeur. Deng a commandé une grande armée et a livré de féroces batailles pendant les années révolutionnaires. Il a également connu de nombreux hauts et bas au cours de sa carrière. Cette vaste expérience lui conférait une aura de grandeur et de dignité qui s'exprimait par une certaine confiance dans le fonctionnement [développement ? M.A.] du monde.

A PROPOS DE L'AUTEUR :

Zhang Weiwei est directeur du Centre de recherche sur le modèle de développement de la Chine, à l'université Fudan de Shanghai. Ce texte est un extrait d'un article plus long. La version originale en chinois est distribuée par Guancha Syndicate.


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https://www.todayonline.com/chinaindia/china/my-memories-deng-xiaopings-interpreter

Xi dit aux jeunes fonctionnaires d'avoir une foi solide et de travailler dur

BEIJING, 1er mars (Xinhua) -- Le président Xi Jinping a exhorté mardi les jeunes fonctionnaires à renforcer leurs idéaux et leurs convictions, à développer et à mettre en pratique une perspective juste sur leurs performances, et à travailler dur pour les causes du Parti et du peuple.

Xi, également secrétaire général du Comité central du Parti communiste chinois (PCC) et président de la Commission militaire centrale, a fait ces remarques lors de la cérémonie d'ouverture d'un programme de formation pour les jeunes et les fonctionnaires d'âge moyen à l'École du Parti du Comité central du PCC (Académie nationale de gouvernance).

UNE FOI SOLIDE DANS LE MARXISME

Xi a déclaré qu'il est vital pour les jeunes fonctionnaires de maintenir la foi ferme dans le marxisme et de lutter pour les idéaux du communisme et du socialisme avec des caractéristiques chinoises.

"C'est un effort de toute une vie, plutôt qu'une tentative pendant un certain temps, pour consolider ses idéaux et ses convictions", a-t-il déclaré.

Il les a exhortés à respecter rigoureusement la discipline du Parti et la loi, et à protéger leur intégrité contre la corruption dans chaque détail de leur vie et de leur travail.

Les responsables du Parti ont été invités à adopter une position sobre et ferme sur les grandes questions de principe, en particulier celles de principe politique, et à exercer leur pouvoir de manière juste, légale, honnête et pour le bien du peuple. Ils doivent avoir un "cercle propre" d'interactions sociales et d'amis, mener une vie saine et simple et discipliner leurs proches.

POUR LE BIEN-ÊTRE DU PEUPLE

"Les communistes doivent garder à l'esprit que travailler pour le bien-être du peuple est leur plus grande réussite politique", a souligné Xi.

Il a ajouté que, lorsqu'ils élaborent et mettent en œuvre des plans, ils doivent rester attachés à l'objectif fondamental du Parti, qui est de servir le peuple de tout cœur, et au principe selon lequel le développement est pour le peuple, dépend du peuple et que ses fruits sont partagés par le peuple.

"Ce qui constitue des services concrets à la satisfaction du peuple doit être déterminé par les besoins du peuple", a poursuivi Xi. "Savoir si les fonctionnaires font du bon travail dépend de ce que ressent le peuple et est jugé par le peuple."

En apportant des avantages réels et substantiels au peuple, a déclaré Xi, les responsables doivent éviter de répondre uniquement aux préoccupations immédiates du peuple et s'assurer qu'aucune conséquence indésirable n'est créée.

Xi a déclaré que les responsables du Parti doivent joindre l'acte à la parole par un travail solide, et s'abstenir de tenir de grands discours et de fixer des objectifs ambitieux mais de prendre peu de mesures pour les atteindre.

Pour atteindre les objectifs à long terme, Xi a déclaré que les responsables doivent maintenir une détermination stratégique et faire preuve de patience.

Il a exhorté les jeunes cadres du Parti à intensifier leurs études théoriques, à combiner théorie et pratique et à rechercher la vérité par la pratique.

OSER LA LUTTE

Le grand rajeunissement de la nation chinoise ne peut être réalisé que si tous les membres du Parti assument leurs responsabilités et maintiennent l'esprit de lutte, a noté Xi.

Xi a exhorté les responsables du Parti, en particulier ceux qui occupent des postes de direction, à prendre l'initiative au lieu d'hésiter à saisir les opportunités, et à être à la hauteur des difficultés et des risques au lieu de fuir leurs responsabilités.

Notant que tout le travail doit s'appuyer sur les décisions et les plans du Comité central du PCC, Xi a souligné que les intérêts partiels et locaux ne doivent pas être poursuivis au détriment des intérêts généraux, et que les avantages à court terme ne doivent pas être placés au-dessus des intérêts fondamentaux ou à long terme.

"Ce n'est qu'avec le courage et la capacité de lutter que nous pourrons gagner le respect et saisir l'initiative, et sauvegarder efficacement la souveraineté et la sécurité nationales de la Chine, ainsi que les intérêts de son développement", a souligné Xi.

Le travail lié aux masses doit être amélioré au rythme de l'époque, a déclaré Xi, appelant les responsables à répondre activement aux préoccupations des citoyens internautes en particulier.

Wang Huning, membre du Comité permanent du Bureau politique du Comité central du PCC et membre du Secrétariat du Comité central du PCC, a assisté à l'événement.

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Source : https://peoplesdaily.pdnews.cn/china/xi-tells-young-officials-to-have-strong-faith-work-hard-250679.html

Gorbatchev ? «Cet homme peut sembler intelligent, mais en fait il est stupide» (Deng Xiaoping)
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