Les manifestations « pacifiques » à Gaza, une supercherie terminologique flagrante !
Actualisé le 19/05/2018 par l'ajout de l'information selon laquelle l'histoire du bébé gazé au gaz lacrymogène est une supercherie (voir note 15)
Par Michel AYMERICH
Message d un soldat israélien :
« Je viens de rentrer à la base dormir un peu avant d'y retourner... Je suis tellement écœuré par la France, j'ai tellement envie de vomir quand je lis les articles... aujourd'hui, j'y étais, j’étais a la barrière de Gaza, j'ai tout vu.
J'ai vu les Palestiniens [arabo-musulmans, M.A.] manifester "pacifiquement" je les ai vu me jeter des pierres, non pas avec les mains, mais avec des frondes, j'ai vu des enfants de 10 ans, au milieu de la fumée provoquée par les pneus brûlés, du gaz, dans l'espoir d'être blessé pour pouvoir m'accuser. J'ai vu un homme, qui aurait pu être mon grand père, peut être 80 ans, pousser les femmes et les enfants vers la barrière avec des pierres, dans l'espoir qu'un d'entre eux soit tué, j'ai vu des centaines de palestiniens, la haine dans les yeux, essayer de traverser la barrière dans l'espoir de me lyncher, de me kidnapper, ou de faire un attentat dans une des villes derrière moi, j'ai vu un palestinien essayé de me tirer dessus avec une Kalashnikov, j'ai vu les Palestiniens essayer de transporter par le biais de cerfs volants, des explosifs, des cocktails Molotov, où des objets enflammés dans le but de m'atteindre, d'atteindre des civils, ou brûler ma Terre... Et moi avant ça, je les ai prévenus, j'ai envoyé des tracts dans tout gaza pour leur demander de ne pas faire ça, j'ai passé en boucle au microphone un enregistrement, en arabe, pour leur demander de ne pas faire ça, je les ai presque supplié de ne pas m'obliger à tirer sur eux, mais eux l'ont quand même fait... et pire, m'ont envoyés leurs femmes et les enfants...
Et après tout ça, c'est eux qui "manifestent pacifiquement" et moi le terroriste. » [1]
Dans la même période, six membres d'une même famille ont commis trois attentats suicide en Indonésie contre des églises, qui ont fait 13 morts et des dizaines de blessés. Une même famille composée du père, de la mère, des deux filles âgées de 9 et 12 ans et des deux fils de 16 et 18 ans. La famille était liée au mouvement radical Jamaah Ansharut Daulah (JAD), qui soutient le groupe État islamique.
Les attaques ont été revendiquées par l' État islamique (Daech). Elles ont visé vers 07H30 (00H30 GMT), à l'heure de la messe, trois églises à Surabaya, la deuxième ville du pays à l'est de l'île de Java. Selon les médias locaux, la famille aurait pu revenir de Syrie où des centaines d'Indonésiens ont afflué ces dernières années pour combattre aux côtés des djihadistes de l’État islamique.
La mère et ses deux filles portaient des niqabs et des bombes autour de la taille lorsqu'elles ont pénétré dans l'église Kristen Indonesia Diponegoro pour se faire exploser.
Le père, Dita Priyanto, chef de cellule au sein du JAD, a foncé avec une voiture remplie d'explosifs sur l’Église pentecôtiste du centre de Surabaya, alors que ses deux fils ont conduit des motos en direction d'un troisième lieu de culte, l'église Sainte-Marie, où ils ont alors activé les explosifs qu'ils portaient. [2]
Sérieusement, qui croit encore que :
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l'Islam est une "religion" qualitativement égale aux autres?
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l'Islam n'est en rien responsable de ces types de comportement? Tant à Gaza qu'à Java...
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qui persiste à penser que cette religion ne doit pas être fortement réformée ? A commencer par l'urgente abrogation du crime d'apostasie...
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qui ne comprend pas la nécessité d'encourager la déislamisation? Et plus encore le droit à l'athéisme?
Pierre Rehov est reporter, écrivain et réalisateur de documentaires. Il écrit dans le Figaro:
«Les organisations islamistes qui s'attaquent à Israël ont toujours eu le sens du vocabulaire dans leur communication avec l'Occident. Convaincus à juste titre que peu parmi nous sont capables, ou même intéressés, de décrypter leurs discours d'origine révélateur de leurs véritables intentions, ils nous arrosent depuis des décennies de concepts erronés, tout en puisant à la source de notre propre histoire les termes qui nous feront réagir dans le sens qui leur sera favorable. C'est ainsi que sont nés, au fil des ans, des terminologies acceptées par tous, y compris, il faut le dire, en Israël même. » [3]
Oh combien il a raison sur ces questions: celle de la terminologie et celle des citoyens français peu capables et peu intéressés à décrypter le «discours d'origine révélateur [des] véritables intentions » des arabo-musulmans qui se font faussement appeler « Palestiniens » [4].
Cette question de la terminologie est fondamentale. Elle conditionne toute l’approche du problème.
On appelle « Palestiniens » des femmes et des hommes arabes de la terre historique d’Israël, alors que dans un passé très proche (avant la seconde guerre mondiale), les Palestiniens, c’était les Juifs habitant la terre d’Israël rebaptisée « Palestine » par les Romains. Les Arabes rejetaient ce qualificatif, affirmant faire partie de la grande nation arabe. Et ils continuent [5].
Il est intéressant d’observer que l’on parle d’Arabes israéliens et non de Palestiniens israéliens en ce qui concerne les citoyens israéliens musulmans.
Quoi, les « Palestiniens » ne seraient pas ou plus arabes ? Leur histoire longue, leur langue, leurs religions ne seraient ni islamo-sunnite ni chrétienne ? Tiens, puisque nous y sommes, seuls des non-Juifs appartenant aux religions monothéistes seraient qualifiables de «palestiniens » ? Et pas les Hébreux, juifs et non-juifs [6] ? Au nom de quoi? Au nom d'une adaptation opportuniste au narratif arabo-musulman?!
Lisons encore Pierre Rehov : « J'ai déjà abondamment écrit, y compris dans ces pages, sur cette aberration tragique perpétuée au profit de l'UNWRA, une agence onusienne empêchant, dans sa forme actuelle, l'établissement et le développement des Arabes de Palestine sur leurs terres d'accueil. Je n'y reviendrai que par une phrase. Pourquoi un enfant, né à côté de Ramallah ou à Gaza, de parents nés au même endroit, ou pire encore, né à Brooklyn ou à Stockholm de parents immigrés, serait-il considéré comme «réfugié» - comme c'est le cas dans les statistiques de l'UNRWA - si un enfant Juif né à Tel Aviv, de parents nés à Bagdad, Damas ou Tripoli, et chassés entre 1948 et 1974 n'a jamais bénéficié du même statut? » [7].
Dans les conditions de la terminologie régnante et celle de citoyens français massivement peu capables et peu intéressés à décrypter le «discours d'origine révélateur [des] véritables intentions » des arabo-musulmans, Mahmoud al-Zahar, cofondateur du Hamas et membre éminent de la direction peut se vanter sans crainte sur la chaîne qatarie Al Jazeera. Les médias dominants, les médias des patrons, comme les médias de la trahison de la gauche, ne relèveront pas.
« On lui a demandé pourquoi le Hamas et le parti Fatah de Mahmoud Abbas, qui dirige l’Autorité palestinienne, n’ont pas pu se mettre d’accord sur un programme commun puisque « le Hamas emploie la même résistance pacifique que le Fatah depuis le premier jour et depuis de nombreuses années ».
En réponse, Al-Zahar a dit : « C’est une supercherie terminologique flagrante ».
« Ce n’est pas une résistance pacifique. L’option (de la lutte armée) a-t-elle diminué ? Non. Au contraire, elle grandit et se développe. C’est clair », dit-il. « Ainsi, lorsque nous parlons de ‘résistance pacifique’, nous trompons le public. Il s’agit d’une résistance pacifique renforcée par une force militaire et des agences de sécurité, et bénéficiant d’un énorme soutien populaire » [8].
Sur les 60 morts, le Hamas en reconnaît 50 comme des miliciens du Hamas (donc prêt à tout!). Quant au «bébé décédé», victime de gaz lacrymogène, il apparaît maintenant que cette histoire est une supercherie!!!
L'ONU a observé 1 minute de silence pour 60 morts «palestiniens». Combien de minutes de silence pour les massacres réitérés en Syrie (400 à 500.000 morts!). Combien pour les Kurdes d'Afrin? [9], etc.
Israël est décidément le Juif des nations à qui on refuse le droit de se protéger...
Le Hamas, notons-le, est qualifié trop souvent simplement de « groupe terroriste ». Alors que le qualificatif de «terroriste » décrit une partie des méthodes, mais ne dit rien sur son programme général. Or cette organisation ou parti islamo-fasciste poursuit une stratégie de reconquête islamique de la terre libérée du joug «musulman» (d'inspiration islamiste) qu’est la terre d’Israël et promet son anéantissement total. Ce qui lui vaut le soutien de l’impérialisme théologico-politique iranien. Une stratégie de reconquête comme moment constitutif de la stratégie globale des Frères musulmans, dont le Hamas fait partie, de conquêtes de positions dans tous les pays dans le but d'islamiser le monde entier !
L’État hébreu parvient à exister et même à se renforcer en comptant:
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principalement sur ses propres forces
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en bénéficiant d’alliances tactiques, sinon pour partie stratégiques avec des États sur une durée de temps variable : URSS (au moins les 2 premières années, notamment, pendant et après la naissance d'Israël), puis l'impérialisme des USA. Ensuite, après les « hésitations » d'Obama, Trump et Poutine... [10]
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en exploitant souvent passivement (une coopération minimale existe toutefois avec certains États...) les antagonismes inter-islamiques. En premier lieu entre les pôles théologico-impérialistes sunnites (Arabie saoudite, Turquie néo-ottomane...) et chiite (République islamique d'Iran).
Ici, la responsabilité est grande de la part des impérialismes occidentaux, dont la fiabilité en tant qu’alliés stratégiques se révèle périodiquement lacunaire et dont les effets en termes de coûts humains ont été et sont énormes, et pourraient se révéler tragiques. Ils sont, en effet, co-responsables de la réislamisation massive des peuples historiquement islamisés, bien que parfois de façon très lacunaire (persistance des autres religions monothéistes, etc.). La réislamisation vient alors parfaire l’entreprise demeurée inachevée et historiquement menacée de déislamisation par le marxisme [11].
Dans ce contexte, il revient à une gauche digne de ce nom, radicalement épurée des chefs et cadres qui ont trahi le programme de toute gauche, de reprendre le flambeau. Une gauche, laquelle pour être de gauche, ne peut tolérer la moindre concession à l’antisémitisme (que celui-ci prenne la forme de l’anti-judaïsme chrétien ou islamique, ou de l’antisionisme moderne), à l'inégalité des sexes proclamée par l'Islam, au diktat «religieux » qui condamne à mort l'apostasie, etc.
La présence, parfois, de Juifs parmi les antisionistes d’aujourd’hui ne légitime en rien le nouvel antisionisme. Elle n’est en rien la preuve d’un non-antisémitisme de l’antisionisme contemporain. L'antisionisme factuel est massivement encouragé par la classe dominante qui veut coûte que coûte imposer la création d'un second État « palestinien » [second, après la Jordanie...[12]] pour notamment satisfaire a minima les partenaires commerciaux de Total, Airbus, Peugeot et Renault en République islamique d'Iran, mais aussi auprès des partenaires islamiques sunnites...
«Les idées de la classe dominante sont aussi à toutes les époques les idées dominantes ; autrement dit la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est aussi la puissance dominante spirituelle. La classe qui dispose des moyens de la production matérielle dispose du même coup des moyens de la production intellectuelle [...] » écrivait Marx [13].
Les antisionistes n'échappent pas à la règle. Tout au contraire! Ils adhèrent au «palestinisme» qui est dans l'air du temps et le propagent ardemment!
La négation de l'autodétermination hébraïque est en soi une forme d'antisémitisme. Or l'antisionisme est devenu la négation de l'autodétermination hébraïque dans la durée.
La posture qui consiste à nier ou relativiser le fait de cette négation sous le prétexte qu'il ne s'agit «que» d'une lutte pour la souveraineté d'une entité dénommée « État palestinien » n'est au mieux que naïveté impardonnable [14]. Elle est en vérité le plus souvent une hypocrisie destinée à endormir la vigilance...
Toutefois, au-delà des divergences politiques considérables sur la question de la légitimité ou non de la création d'un second « État palestinien », il demeure qu'une condamnation absolue, qu'aucun « oui, mais » puisse relativiser, doit être prononcée contre ceux qui instrumentalisent des jeunes gens immatures comme à Gaza et à Java et inventent l'histoire d'un bébé décédé [15] du fait de l'envoi de gaz lacrymogène.
Il faut enlever ses œillères à ce stade. La « communauté internationale » doit exiger l'arrestation sinon la neutralisation de ces criminels du Hamas...
Notes:
[1] https://harissa.com/news555/fr/message-dun-soldat-franco-israelien
[2] https://www.youtube.com/watch?v=jvExqtU57wY
[3] Pierre Rehov : un autre regard sur Gaza, http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2018/04/20/31002-20180420ARTFIG00271-pierre-rehov-un-autre-regard-sur-gaza.php
[4] Michel AYMERICH, Les « Palestiniens », un peuple inventé par anti-hébraïsme ! http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2016/11/les-palestiniens-un-peuple-invente-par-anti-hebraisme.html
[5] Gaza: Le ministre de l’intérieur du Hamas avoue par erreur l'origine du peuple "palestinien", https://www.youtube.com/watch?v=kANLcDZM-u0. Également: « Zahir Muhsein, membre du comité exécutif de l’OLP, expliquait dans une interview donnée au journal néerlandais Trouw, mars 1977: «Le peuple palestinien n’existe pas. La création d’un État palestinien n’est qu’un moyen pour continuer la lutte contre l’État d’Israël afin de créer l’unité arabe. En réalité, aujourd’hui, il n’y a aucune différence entre les Jordaniens, les Palestiniens, les Syriens et les Libanais. C’est uniquement pour des raisons politiques et tactiques, que nous parlons aujourd’hui de l’existence d’un peuple palestinien, étant donné que les intérêts arabes demandent que nous établissions l’existence d’un peuple palestinien distinct, afin d’opposer le sionisme. Pour des raisons tactiques, la Jordanie qui est un État souverain avec des frontières bien définies, ne peut pas présenter de demande sur Haifa et Jaffa, tandis qu’en tant que palestinien, je peux sans aucun doute réclamer Haifa, Jaffa, Beersheba et Jérusalem. Toutefois, le moment où nous réclamerons notre droit sur l’ensemble de la Palestine, nous n’attendrons pas même une minute pour unir la Palestine à la Jordanie», Michel AYMERICH, Majorité hébraïque de longue date à Jérusalem et inexistence historique du peuple palestinien: des vérités à taire! http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2018/01/majorite-hebraique-de-longue-date-a-jerusalem-et-inexistence-historique-du-peuple-palestinien-des-verites-a-taire.html
[6] « Henry Laurens a étudié l'émergence du terme « Falastin » vers 1908-1909 et ce qui retient l'attention, c'est que si la notion de « Palestinien » englobe toutes les vagues successives d'immigrés musulmans venus s'installer en Terre Sainte au XIXème siècle, arabes ou non (Hauranis de Syrie, Maghrébins, Tcherkesses, Bosniaques, etc.), en revanche les composantes juives de cette même population palestinienne en voie de formation s'en trouvent exclues. C'est le cas du vieux yichouv et des Juifs du monde arabo-musulman (originaires du Maghreb, de Boukhara, du Yémen), même arabophones. Tout Musulman s'intègre de droit à la communauté palestinienne, tout Juif palestinien en est écarté a priori : jeté aux chiens. » Nathan WEINSTOCK, HISTOIRES DE CHIENS... dans le monde arabo-musulman le sous-homme, le « chien », c'est d'abord le Juif, in Michel AYMERICH http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2016/06/histoires-de-chiens.html
[7] Pierre Rehov : un autre regard sur Gaza, ibid.
[8] Hamas : « nous trompons le public » au sujet des manifestations pacifiques, https://fr.timesofisrael.com/hamas-nous-trompons-le-public-au-sujet-des-manifestations-pacifiques/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
[9] Michel AYMERICH, Afrin ! Afrin... Que la force de nos protestations brise le mur du silence médiatique ! http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2018/03/afrin-afrin.que-la-force-de-nos-protestations-brise-le-mur-du-silence-mediatique.html
[10] Michel AYMERICH, Benjamin Netanyahu et Aleksandar Vucic, aux côtés de Vladimir Poutine pour le 73e anniversaire de la Victoire sur le fascisme ! http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2018/05/benjamin-netanyahu-et-aleksandar-vucic-aux-cotes-de-vladimir-poutine-a-l-occasion-du-73e-anniversaire-de-la-victoire-sur-le-fascisme
[11] Michel AYMERICH, Mohamed Ben Salmame révèle l'utilisation de la réislamisation pour contrer l'URSS..., http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2018/04/mohamed-ben-salmame-revele-l-utilisation-de-la-reislamisation-pour-contrer-l-urss.html
[12] Michel AYMERICH, A propos de « Israël – Des droits historiques et géographiques »http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2016/09/a-propos-de-israel-des-droits-historiques-et-geographiques.html
[13] « Les pensées de la classe dominante sont aussi, à toutes les époques, les pensées dominantes, autrement dit la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est aussi la puissance dominante spirituelle. La classe qui dispose des moyens de la production matérielle dispose, du même coup, des moyens de la production intellectuelle, si bien que, l'un dans l'autre, les pensées de ceux à qui sont refusés les moyens de production intellectuelle sont soumises du même coup à cette classe dominante. Les pensées dominantes ne sont pas autre chose que l'expression idéale des rapports matériels dominants, elles sont ces rapports matériels dominants saisis sous forme d'idées, donc l'expression des rapports qui font d'une classe la classe dominante; autrement dit, ce sont les idées de sa domination. Les individus qui constituent la classe dominante possèdent, entre autres choses, également une conscience, et en conséquence ils pensent; pour autant qu'ils dominent en tant que classe et déterminent une époque historique dans toute son ampleur, il va de soi que ces individus dominent dans tous les sens et qu'ils ont une position dominante, entre autres, comme êtres pensants aussi, comme producteurs d'idées, qu'ils règlent la production et la distribution des pensées de leur époque; leurs idées sont donc les idées dominantes de leur époque. » Karl Marx, L'idéologie allemande, https://www.marxists.org/francais/marx/works/1845/00/kmfe18450000c.htm
[14] ] «Le peuple palestinien n’existe pas. La création d’un État palestinien n’est qu’un moyen pour continuer la lutte contre l’État d’Israël afin de créer l’unité arabe.», Michel AYMERICH, Majorité hébraïque de longue date à Jérusalem et inexistence historique du peuple palestinien: des vérités à taire! Ibid.
[15] « D’après les informations obtenues par le journaliste Matthias Inbar, « le bébé souffrait de problèmes cardiaques depuis sa naissance. Sa famille serait convenue d’un accord avec l’organisation terroriste Hamas pour annoncer sa mort à la presse, en prétendant qu’il aurait été tué à cause des gaz lacrymogènes lancés par Israël, en échange d’une compensation financière significative ». Bébé palestinien « gazé »: l’AFP valide la thèse du Hamas et passe sous silence les démentis, http://infoequitable.org/bebe-palestinien-gaze-l-afp-valide-la-these-du-hamas-et-passe-sous-silence-les-dementis/
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